signification bouddha qui se cache les yeux
1 Passez une crème hydratante à l’acide hyaluronique une fois par jour. L’hydratation du contour des yeux peut empêcher son dessèchement et atténuer les rides plus profondes. Avant donc de vous maquiller, tamponnez une crème hydratante sous les deux yeux, puis massez la région en décrivant des mouvements circulaires.
Senset Signification des animaux dans le Bouddhisme. Nous décrirons les différents symboles dans leur signification extérieure et intérieure ou ésotérique, selon les différents enseignements du Seigneur Bouddha. Cependant, selon
Traductionsen contexte de "cache les yeux" en français-anglais avec Reverso Context : Un bandeau puant me cache les yeux, mais je peux voir la scène comme s'il n'existait pas.
Vospoints faibles sont: la tête, les yeux, le nez et les dents. Cachez signification sur le plan financier Sentant l'envie de plaire aux autres que vous avez tendance à être extravagant. En découvrant quelque chose que vous aimez, il est très difficile de freiner vos pulsions. Il existe une relation complexe avec de l'argent. Cependant
Lasignification du symbole de l'œil dans le triangle. On croit généralement que l'œil qui voit tout représente le pouvoir qui se cache dans la connaissance. Grâce à elle et à son pouvoir caché, l'homme peut acquérir la capacité de connaître les secrets cachés de l'univers.
Phrase De Présentation Pour Site De Rencontre. Le conte du Bouddha Vous pouvez trouver dans ce site différentes études sur les légendes initiatiques, sur les contes d’éveils, et sur certains contes éthiques. Avec le thème du dragon, nous avons étudié comment certaines organisations comme l’église catholique ont savamment construit un mythe tel que celui de Saint Georges. Mais, il nous reste à évoquer les contes courts, totalement symboliques, appelés aussi paraboles ou apologues… qui se sont transformés en fables ludiques avec le passage des siècles, sous la plume d’auteurs plus légers ». Les contes peuvent se révéler une forme d’enseignement très efficace par les images et symboles qu’ils utilisent, et de nombreux mouvements spirituels et religieux les ont employé. Au fil du temps, les symboles peuvent ne plus être reconnus de façon claire et juste, aussi, des explications rétrospectives sont nécessaires. C’est le cas également de presque tous les textes sacrés. Les allégories changent avec le temps, et les peuples auxquels ces textes s’adressent peuvent ne plus être en accord avec leur signification, ne plus pouvoir en reconnaître aisément les symboles. De ce fait, des maîtres » en théologie sont parfois nécessaire pour décrypter ces textes ; néanmoins ces experts » peuvent en détournés le sens, par ignorance ou, sciemment, en fonction de la politique du moment. Aussi, il est exceptionnel de trouver un texte dans lequel l’auteur ou ses disciples donne à la suite du récit la clé des symboles et la signification du conte. C’est le cas avec cette parabole du Bouddha, que nous présentons, et qui provient du Tripitaka ou Tipitaka chinois. Il s’agit d’un ensemble de textes composés d’après les paroles du Bouddha et de ses proches disciples, divisé en trois parties, d’où son nom Tripitaka = ou trois corbeilles ». Le premier ensemble a été écrit en Pali aux Sri Lanka, après quoi, chaque peuple d’Asie en a transcrit une version. 1 C’est dans l’ouvrage d’Edouard Chavannes 2 "Cinq cent contes et apologues, extraits du Tripitaka chinois" éd Ernest Leroux 1911/1934, dans le troisième tome, que nous avons trouvé le conte pour cette étude. Nous avons choisi parmi tous les textes de cet ouvrage, une allégorie du Bouddha vraiment belle, un Jataka un petit texte très imagé, éclairé par l’Eveillé qui nous donne la description des symboles et des actes détaillés dans ce récit. En fait, nous avons trouvé deux variantes de ce conte dans le même ouvrage. Le premier comporte une explication donnée par le Bouddha, mais, ce n’est pas le cas du second. Nous allons commencer par le conte avec sa signification Ce conte est un apologue, c’est à dire un récit montrant le chemin de la perfection. Voici le récit qui est conté par le Bouddha à un roi Un homme qui marchait dans la campagne déserte fut poursuivi par un éléphant furieux; terrifié, il s'enfuyait sans trouver aucun asile; voyant un puits à sec le long duquel pendait une racine d'arbre, il se laissa glisser le long de cette racine pour se cacher dans le puits. Or il y avait deux rats l'un noir et l'autre blanc, qui constamment rongeaient cette racine d'arbre; sur les quatre parois du puits, il y avait quatre serpents venimeux qui voulaient piquer cet homme; et au fond était un dragon venimeux. L'homme redoutait le dragon et les serpents et il craignait que la racine d'arbre ne se rompît. Sur l'arbre, il y avait du miel d'abeilles dont cinq gouttes tombèrent dans sa bouche mais, l'arbre s'étant agité, les abeilles se dispersèrent et descendirent piquer cet homme. En outre, un incendie vint brûler cet arbre. » L’explication ensuite Le roi demanda Un tel homme, comment pourrait-il, quand il subit des tourments illimités, désirer cette petite jouissance du goût ? Alors l'Honoré du monde, le Bouddha dit O grand roi, la campagne déserte, c'est la vaste étendue de la nuit perpétuelle de l'ignorance. L’homme qui s'enfuit est le commun des hommes le profane; quand on parle de cet homme, on représente ainsi tous les êtres. L’éléphant symbolise l'impermanence; le puits symbolise le bord abrupt de la vie et de la mort, le samsâra. La racine d'arbre sur une paroi escarpée symbolise la destinée humaine. Les deux rats, l'un noir et l'autre blanc sur la racine, symbolisent le jour et la nuit, et le fait qu'ils rongent la racine d'arbre symbolise l'extinction du flux de pensées successives, l’oubli quotidien. Les quatre serpents venimeux symbolisent les quatre éléments, la terre, l’eau, le feu et le vent, les quatre formes causales, base de l’enseignement de l'agrégat des formes. Les gouttes de miel symbolisent les cinq désirs, l’avidité, la colère, la confusion, l’orgueil et la jalousie. Cet attachement est tellement fort que même dans des situations extrêmes, il est difficile de s’en libérer. L’arbre agité symbolise le "mental" et les abeilles symbolisent les pensées perverses. L'incendie symbolise la vieillesse et la maladie et le dragon venimeux représente les souffrances de la mort, ou les souffrances de l’illusion. C'est pourquoi, ô grand roi, il vous faut savoir que la naissance, la vieillesse, la maladie et la mort sont choses fort redoutables ; quand le sage considère véritablement ces choses, il en conçoit promptement l’aversion pour cette vaine existence. Il faut être à l’écoute continuellement, et, ne pas vous laisser absorber et dominer par les cinq désirs. Quand le cœur ne s’attache plus aux cinq désirs, alors on peut appeler un tel homme un délivré. Quand le roi Cheng-kouang eût entendu le Bouddha lui expliquer le caractère transitoire et funeste de la vie et de la mort, il obtint une connaissance telle qu'il n'en avait point encore eue et conçut profondément le dégoût du monde et le désir de s'en détacher; joignant les mains pour adorer et admirant de tout son cœur, il dit au Bouddha "Ô Honoré du monde, Tathâgata , Grand compatissant, cette explication merveilleuse de la Loi que vous venez de me donner, maintenant je la porterai sur ma tête." Le Bouddha répliqua Très bien; ô grand roi, agissez comme vous venez de le dire et ne vous laissez pas aller à la négligence. Alors le roi Cheng-kouang et tous les membres de la grande assemblée furent pleinement joyeux; ils acceptèrent avec foi ces enseignements et les mirent en pratique. Nous découvrons ainsi un enseignement imagé, basé sur un système descriptif, philosophique et psychologique particulièrement détaillé, que les adeptes du bouddhisme approfondissent depuis plus de deux mille ans. Examinons la deuxième variante, car cet apologue semble avoir un sens différent Cet apologue porte le numéro 469 dans le livre d’Edouard Chavannes Autrefois il y avait un homme qui marchait dans une région de marécages déserts lorsqu’il aperçut un éléphant noir ; cet homme songea Cet éléphant va certainement venir me mettre à mal ; il faut que je le tue. L’éléphant pensa de son côté Cet homme va certainement me tuer ; il faut que je le menace. » L’homme alors se sauva en ayant l’éléphant à ses trousses ; il courut devant lui pendant plusieurs li lieues jusqu’à ce qu’il tombât dans un ravin profond ; ce ravin était absolument insondable ; il parvint à s’accrocher sur le flanc de la paroi à une racine d’arbre grosse comme le doigt ; il se laissa descendre le long de cette racine ; il était ainsi suspendu sur le côté de l’abîme . L’éléphant était en haut du ravin et cherchait à le prendre avec sa trompe ; il s’efforçait de l’attraper sans y parvenir ; en bas, si on regardait vers le fond, on ne voyait que des lances et des piques . En outre deux rats rongeaient simultanément la racine d’arbre ; puis trois serpents noirs sortaient la tête dans l’intention de mordre ; enfin des moustiques venaient piquer les yeux de l’homme. Celui-ci pensa Je vais mourir aujourd’hui. » Levant la tête vers le Ciel, il implora son secours avec une voix si pitoyable et avec une intensité d’émotion telle que le Ciel fit tomber des gouttes d’ambroisie dans sa bouche. Dès qu’il reçut la première goutte, les deux rats se retirèrent ; à la seconde goutte, les serpents venimeux le quittèrent ; à la troisième goutte, l’éléphant noir s’en retourna ; à la quatrième goutte, les moustiques disparurent ; à la cinquième goutte, le gouffre profond s’aplanit et l’homme se trouva dehors sur un sol plat. Enfin le Ciel le guida miraculeusement pour le faire revenir en haut parmi les devas les dieux. Nous retrouvons la même situation que dans la première variante, mais la fin est totalement différente. Ainsi, la première version illustre la description du Samsara, avec l’attachement aux lois de l’espace-temps et aux désirs puissants de ce monde. Mais, la deuxième version décrit l’issue libératrice de ce monde dualiste. Puisqu’il n’y a pas d’explications à ce conte, examinons, nous-même ces symboles… D’abord, le personnage est dans une vaste région de marécages déserts ce qui illustre bien ce monde fait de conceptions irréelles, dans lequel l’être humain ne connaît pas de base sûre où se poser, ce qui fait naître des émotions continuelles. Du reste les deux phrases suivantes décrivent toutes les deux des peurs imaginaires Cet éléphant va certainement venir me mettre à mal, Cet homme va certainement me tuer. Ce jugement basé sur la peur et sur la conservation de soi, entraîne évidemment une réaction de violence il faut que je le tue il faut que je le menace. Voila le fondement de nos existences. Après quoi, le conte décrit notre demeure le Samsara, dans lequel nous nous enfermons quotidiennement. Les symboles sont les mêmes que dans la version précédente, sauf, pour le nombre de serpents ; les moustiques remplacent simplement les abeilles du premier conte, en gardant la même signification. La description des désirs, source de maintien dans l’illusion du Samsara, - qui est le sujet du premier conte – ne sont pas évoqués dans celui-ci ; mais ils sont remplacés par les trois serpents » qui désignent ainsi, les bases du monde de l’illusion selon les bouddhistes. Les serpents illustraient les quatre éléments du monde naturel dans le premier conte, mais dans ce conte-ci, ils illustrent les trois fondamentaux du moyeu de la roue de la vie l’ignorance, le désir et la fureur. Ce sont trois puissances aveugles qui emportent toute vérités et toute paix. Après la description de notre univers, ce conte veut mettre l’accent sur la libération de cet enfer, et que décrit-il ? Une imploration éperdue du personnage apportant les "gouttes d’ambroisie" !!! Ces gouttes venues du ciel le libèrent petit à petit de l’illusion. Mais que s’est t-il passé dans l’attitude du personnage pour qu’il bénéficie de ces "gouttes d’ambroisie" ? Le texte est très explicite, et il n’envisage pas, ici, une simple imploration tirée d’une conception religieuse, un secours venu des dieux, c’est à dire extérieur à soi. C’est pourtant le sens que beaucoup veulent lui donner l’aide d’un dieu bon et compatissant, qui les sortirait du merdier » dans lesquels ils tournent, et retournent sans cesse. Cette conception totalement religieuse ne tient aucun compte du paradoxe suivant c’est le même dieu créateur qui a fait ce monde, qui doit les sauver ! Alors, pour expliquer le mal, il ont créer un mythe celui du diable ». Les conceptions bouddhistes et gnostiques de la réalité de ce monde de l’espace temps sont plus explicites, et ses disciples n’attendent pas le secours d’un dieu créateur. L’homme doit apprendre de ses expériences par lui-même, il doit écouter chaque situation, voir chaque mouvement de l’être et quand la connaissance de soi est pleine et entière, il peut laisser la place à un espace en soi… Ainsi nous pouvons comprendre cette phrase dans le conte l’homme… pensa Je vais mourir aujourd’hui. » voilà le message fondamental de la spiritualité universelle. L’espace, que crée en soi l’abandon de la personnalité basé sur une continuelle création irréelle, ouvre à l’Eveil. C’est le Mahamoudra du bouddhisme, le Wou-wei du taoisme. La reddition de soi du christianisme et le lâcher prise du langage spirituel de notre temps. Cet espace amène le changement dans l’être, et libère les "gouttes d’ambroisie"… L'Aède Notes 1/ le tipitaka Les paroles du Bouddha ont été compilées dans l’année ayant suivi sa mort, vers 500 av JC. Elles ont ensuite été transmises oralement, puis finalement rédigées au Ier siècle av JC, au Sri Lanka, en trois parties Vinaya Pitaka Les textes du Vinaya ont pour objet de préciser les règles de la vie des disciples du Bouddha. Chaque règle est accompagnée d’une narration de l’épisode ayant été à l’origine de sa création, et d'un exposé détaillé de la solution émise par le Bouddha. On trouve également dans cette corbeille une narration des étapes par lesquelles le Bouddha est passé pour parvenir à l’Éveil, et les premiers pas du Sangha la communauté des disciples. Sutta Pitaka C’est la corbeille principale, qui contient uniquement des suttas discours, attribués en très grande majorité au Bouddha. Le Sutta Pitaka comporte cinq divisions et c'est dans le Khuddaka Nikaya, la partie la plus ancienne, que prennent naissances les contes du Jataka. Abhidhamma Pitaka Les plus vieilles versions de l'abhidhamma sont datées du troisième siècle avant notre ère, soit 100 à 200 ans après la mort du Bouddha et sont considérés comme un essai de systématisation des enseignements délivrés par le Bouddha dans les suttas. 2/ C’est dans la partie extrait du King Lu Yi Siang de l’ouvrage de Chavannes que ce texte est tiré.
Les couleurs illuminent notre vie quotidienne. On leur prête souvent un sens ou une signification de convention qui changent suivant les cultures ou les religions dans les différentes parties du monde. Le Bouddhisme, en particulier le Bouddhisme tibétain, est connu pour son artisanat et ses rituels illuminés de couleurs exubérantes. Les teintes choisies, au delà de la disponibilité des différents pigments, revêtent une signification toute particulière. Une des utilisations significatives de couleurs dans le Bouddhisme découle d'un concept appelé "corps d'arc-en-ciel", "corps de lumière", ou Jalu en tibétain. Ce concept recouvre l'état le plus élevé auquel l'esprit du méditant peut accéder avant de sortir du Samsara, répétition de la souffrance et de l'insatisfaction, cycle des renaissances. C'est un état de transition ou le corps du méditant se sublime et se fond en pure lumière pour finalement atteindre l'état de Nirvana, c'est à dire d'éveil et de libération du cycle de réincarnations, les couleurs convergeant en une seule lumière d'un blanc principales couleurs du Bouddhisme sont ainsi traditionnellement 5 comme les 5 Bouddhas de sagesse le blanc, le bleu, le jaune, le rouge, le vert, et au delà des 5 couleurs, existe une symbolique du noir. Le blanc resplendissant Le blanc est une couleur de pureté et d'émancipation. C'est aussi la couleur du savoir et de la longévité. Dans le Bouddhisme, le blanc est la couleur du Bouddha Vairochana, le Grand Soleil. Si l'on en croit les légendes Bouddhistes, la mère du Bouddha, Maya Devi, rêva d'un éléphant blanc comme annonce de la naissance du Bouddha. Le bleu inébranlable La couleur bleue est celle du Bouddha Akshobhya, dont une émanation populaire est le Bouddha de médecine ou Maître guérisseur. L'azur représente la pureté, la tranquillité, et la guérison. De manière générale, c'est une couleur de sagesse. Il existe néanmoins une différence importante entre le bleu clair et le bleu foncé. Le bleu clair sur lequel méditent les Bouddhistes est représenté par la turquoise. Il est sans limite et porteur de la sagesse de la terre et du ciel. Il illustre aussi la dualité de la vie et de la mort, témoignant de la vie humaine. Le bleu foncé pour sa part est associé au lapis lazuli car pour les Bouddhistes, cette pierre symbolise ce qui est pur et rare. Les pierres de lapis lazuli les plus raffinées évoquent par leur aspect le ciel nocturne orné d'étoiles étincelantes, et on leur prête un grand pouvoir de guérison. Le jaune né du joyau Le jaune symbolise l'absence complète de forme et la vacuité, et représente la renonciation. C'est la couleur de l'humilité et la séparation d'avec le matérialisme. Le Bouddha Ratnasambhava est toujours représenté en jaune. La croyance dit que méditer sur cette couleur transforme l'orgueil en sagesse. Le rouge de la lumière infinie La couleur rouge symbolise l'accomplissement, la sagesse, la chance et la dignité. Elle est aussi liée à la force de vie, au feu et à la préservation. Sa nature duale en temps que couleur symbolique du feu l'associe bien sûr à la chaleur et au bien être, mais c'est aussi une force de destruction. Dans l'art tibétain, le Bouddha Amitābha est est illustré avec un corps rouge. Cette couleur est d'ailleurs la marque d'un espace consacré dans le Bouddhisme tibétain. Il est d'ailleurs de notoriété que les portails et les autels des monastères Bouddhistes sont écarlates, ainsi que les vêtements des moines tibétains. Le vert du succés infaillible Verte est la couleur de l'équilibre et de l'harmonie. Elle symbolise la jeunesse, la vigueur et l'action efficace le karma. Le Bouddha Amoghasiddhi est associé à cette couleur qui représente aussi la nature. Le noir et l'absence Comme dans la culture occidentale, le noir dans le Bouddhisme fait référence à l'ombre et à l'ignorance. Les Bouddhistes méditent sur cette absence de couleur pour accéder à une compréhension qui les guidera par contraste sur la voie de la clarté et de la paix. Il est utilisé aussi tel une réminiscence de la transformation du mal en bien. Ainsi, l'idée d'un corps arc-en-ciel comme le projeté d'un prisme contient en lui toutes les manifestations possibles de la lumière et donc de la couleur. Le corps de lumière est éveil intérieur. La compréhension des principes suggérés par ces couleurs, l'application de cette sagesse à la vie et la libération des désirs est la manière dont le corps arc-en-ciel, et potentiellement le nirvana, sont obtenus.
Quels sont les symboles du bouddhisme et leurs significations ? Si vous êtes ici, vous vous pausez certainement cette question, et vous êtes au bon endroit pour connaitre la réponse ! découvrez maintenant les symboles bouddhistes les plus représentés. Le bouddhisme a commencé dès le 4e ou 6e siècle avant notre ère lorsque Siddharta Gautama a commencé à diffuser ses enseignements sur la souffrance, le nirvana et la renaissance en Inde. Siddharta lui-même était opposé à accepter des images de lui-même et utilisait de nombreux symboles différents pour illustrer ses enseignements. Il y a huit symboles différents de bon augure du bouddhisme, et beaucoup disent que ceux-ci représentent les dons que Dieu a faits à Bouddha quand il a atteint l'illumination. SOMMAIRE DES SYMBOLES BOUDDHISTE Les symboles bouddhistes et leur signification Les huit signes auspicieux du bouddhisme ou Ashtamangala Le parasol ou parapluie Les Deux Poissons Dorés La Conque La fleur de lotus La bannière de la victoire Urne de sagesse La roue du Dharma ou Dharmachakra Le nœud éternel D'autres Symboles Bouddhistes avec une importante haute L'arbre de la bodhi Empreinte du Bouddha Trône vide Le lion bouddhiste Swastika, la Croix gammée bouddhiste Les quatres rois célestes Yeux de Bouddha Vajra Enso Aum Om Trois joyaux Le bol à aumônes Cloches bouddhiques Drapeau bouddhiste Que signifient les différents symboles bouddhiques ? On ne connaît pas le rôle de l'image dans le bouddhisme primitif, bien que l'on puisse trouver de nombreuses images survivantes parce que leur nature symbolique ou représentative n'était pas clairement expliquée dans les textes anciens. Parmi les symboles les plus anciens et les plus communs du bouddhisme sont le stupa, la roue du Dharma et la fleur de lotus. La roue du dharma, traditionnellement représentée par huit rayons, peut avoir différentes significations. Au début, il ne signifiait que la royauté un concept du "monarque de la roue, ou chakravatine, mais a commencé à être utilisé dans un contexte bouddhiste sur les piliers d'Ashoka au 3e siècle av. La roue du Dharma est généralement considérée comme se référant au processus historique de l'enseignement du bouddhadharma ; les huit rayons se réfèrent à la noble voie octuple. Le lotus, aussi bien, peut avoir plusieurs significations, se référant souvent au potentiel intrinsèquement pur de l'esprit. D'autres symboles anciens incluent la Trisula, un symbole utilisé depuis le 2ème siècle av. qui combine le lotus, le bâton de diamant vajra et une symbolisation des trois bijoux Le Bouddha, le dharma, la sangha. La croix gammée était traditionnellement utilisée en Inde par les bouddhistes et les hindous comme signe de chance. En Asie de l'Est, la croix gammée est souvent utilisée comme symbole général du bouddhisme. Les croix gammées utilisées dans ce contexte peuvent être orientées vers la gauche ou vers la droite. Le bouddhisme primitif n'a pas dépeint le Bouddha lui-même et peut avoir été aniconique. Le premier indice de représentation humaine dans le symbolisme bouddhiste apparaît avec l'empreinte de Bouddha. Les huit signes auspicieux du bouddhisme ou Ashtamangala C'est une suite sacrée de Huit Signes Auspicieux endémiques à un certain nombre de Traditions Dharmic telles que l'Hindouisme, le Jaïnisme, le Bouddhisme, le Sikhisme. Les symboles ou " attributs symboliques " sont le yidam et les outils pédagogiques. Non seulement ces attributs, ces signatures énergétiques, pointent vers des qualités d'esprit éclairé, mais elles sont l'investiture qui orne ces " qualités " éclairées. De nombreuses énumérations et variations culturelles de l'Ashtamangala existent encore. À l'origine, on utilisait en Inde des groupes de huit symboles de bon augure lors de cérémonies telles que l'inauguration ou le couronnement d'un roi. Un premier groupe de symboles comprenait trône, croix gammée, svastika, empreinte de main, noeud crocheté, vase de bijoux, gourde de libation d'eau, paire de poissons, bol avec couvercle. Dans le bouddhisme, ces huit symboles de la bonne fortune représentent les offrandes faites par les dieux au Bouddha Shakyamuni immédiatement après qu'il eut obtenu l'illumination. Le parasol ou parapluie Le parasol ou parapluie bouddhiste Un parapluie peut protéger les gens des différents éléments, comme le soleil ou la pluie. Dans ce contexte, un parasol ou un parapluie peut signifier la protection contre la souffrance et les forces nocives. Cela peut aussi signifier le plaisir de profiter de l'ombre fraîche qu'elle procure. En savoir plus sur le parasol bouddhiste Les Deux Poissons Dorés Deux poissons dorés Dans les temps anciens, les deux poissons étaient dessinés pour symboliser le Gange et les rivières Yamuna. Par l'interprétation, il est devenu synonyme de chance et de fortune. C'est aussi le courage et l'intrépidité d'affronter l'océan de souffrances et de pouvoir nager librement comme des poissons dans l'eau. En savoir plus sur les deux poissons dorés La Conque Cette grosse coquille a été utilisée dans de nombreux pays comme corne de combat traditionnelle. Dans le bouddhisme, la coquille de conque blanche qui s'enroule vers la droite peut signifier le son profond et joyeux des enseignements du Dharma. Elle est représentative de l'éveil que reçoivent les disciples lorsqu'ils entendent ces enseignements. Le coquillage de la conque peut aussi signifier l'éveil des gens à l'ignorance. En savoir plus la Conque La fleur de lotus Le lotus a été utilisé dans de nombreux enseignements du bouddhisme pour transmettre la vraie nature de toute l'humanité. Les racines de la plante de lotus sont enfoncées profondément dans la boue, mais elle pousse encore au-dessus de l'eau trouble et s'épanouit en une belle fleur à l'odeur douce. Le lotus peut être analogue à la façon dont nous nous élevons de nos souffrances pour atteindre l'illumination, la beauté et la clarté. Les plantes de lotus de couleurs différentes signifient différentes choses dans le bouddhisme. Un lotus blanc est un symbole de pureté mentale et spirituelle. D'autres couleurs et leur signification incluent Rouge - Ceci représente le cœur, l'amour et la compassion. Rose - Ceci représente le Bouddha historique. Violet - Ceci représente le mysticisme. Bleu - Cela représente la sagesse, ainsi que le contrôle des sens. En savoir plus sur la fleur de lotus La bannière de la victoire Ce symbole représente comment Bouddha a vaincu le démon Mara. Ce démon, dans le bouddhisme, est synonyme de passion, de luxure et de fierté. La Bannière de la Victoire est utilisée pour rappeler aux gens qu'il faut vaincre sa propre fierté, sa luxure et ses passions pour pouvoir atteindre l'illumination. En savoir plus sur la Bannière de la Victoire Le vase au trésor ou urne de sagesse Un vase peut être rempli de beaucoup de choses différentes. Le vase, dans le bouddhisme, peut signifier la pluie de la santé, la richesse, la prospérité et toutes les bonnes choses qui viennent avec l'illumination. Il représente la santé, la longévité, la richesse, la prospérité, la sagesse et le phénomène de l'espace. En savoir plus l'urne de sagesse La roue du Dharma ou Dharmachakra La roue du Dharma Cette roue est aussi appelée le chakra du dharma ou le chakka du Dhamma et est souvent utilisée pour représenter Bouddha lui-même. Il est aussi devenu universellement le symbole du bouddhisme. La roue du dharma a huit rayons, qui représentent le chemin octuple du Bouddha. En savoir plus sur la Roue de Dharma dharmachakra Le nœud éternel On dit que l'entrelacement des lignes dans le nœud éternel symbolise la façon dont tout est relié. Elle peut aussi représenter comment la religion et les affaires séculières, ainsi que la compassion et la sagesse, sont unies et reliées les unes aux autres. Le " nœud sans fin " ou " nœud éternel " représente l'entrelacement de la sagesse et de la compassion ; représente la dépendance mutuelle de la doctrine religieuse et des affaires séculières. En savoir plus Le nœud éternel D'autres Symboles Bouddhiste avec une importante haute Feuille de Bodhi et arbre de Bodhi L'arbre de la bodhi, également connu sous le nom de Bo du Bo cinghalais, était un grand et très vieux figuier sacré situé à Bodh Gaya à environ 100 km de Patna dans l'état indien du Bihar, sous lequel Siddhartha Gautama, le maître spirituel et fondateur du bouddhisme plus tard connu sous le nom de Gautama Buddha, aurait atteint la lumière, ou Bodhi. Dans l'iconographie religieuse, l'arbre Bodhi est reconnaissable à ses feuilles en forme de cœur, qui sont généralement bien en vue. Il faut 100 à 3000 ans pour qu'un arbre de la bodhi grandisse pleinement. Le terme "Bodhi Tree" est également largement appliqué aux arbres existants, en particulier la Figue Sacrée qui pousse au temple de la Mahabodhi, qui est un descendant direct du spécimen original. Cet arbre est une destination fréquente pour les pèlerins, étant le plus important des quatre principaux lieux de pèlerinage bouddhiste. D'autres arbres sacrés de Bodhi qui ont une grande signification dans l'histoire du bouddhisme sont l'arbre Anandabodhi à Sravasti et l'arbre Bodhi à Anuradhapura, Sri Lanka. On pense que les deux ont été propagés à partir de l'arbre original de la Bodhi. En savoir plus l'arbre de la bodhi Empreinte du Bouddha L'empreinte du Bouddha est une empreinte de l'un ou des deux pieds du Bouddha Gautama. Il existe deux formes les formes naturelles, telles qu'on les trouve dans la pierre ou la roche, et les formes artificielles. Beaucoup de celles "naturelles", bien sûr, sont reconnues comme n'étant pas des empreintes réelles du Bouddha, mais des répliques ou des représentations d'entre elles, qui peuvent être considérées comme des Cetiya reliques bouddhistes ainsi qu'une représentation aniconique et symbolique du Bouddha à ses débuts. Les empreintes du Bouddha abondent dans toute l'Asie, datant de différentes périodes. Ils portent souvent des signes distinctifs, tels qu'un Dharmachakra au centre de la semelle, ou les 32, 108 ou 132 signes propices du Bouddha, gravés ou peints sur la semelle. En savoir plus l'empreinte du bouddha Trône vide Un trône vide réside dans le concept de " vide ", un élément important du mysticisme. Ce symbole symbolisait également la royauté de Siddharta Gautama. En savoir plus le Trône vide Le lion bouddhiste Le lion est l'un des symboles les plus importants du bouddhisme. Le lion est le symbole de la royauté qui symbolisait ce dont le Bouddha faisait partie avant d'atteindre l'illumination. C'est aussi le pouvoir de l'enseignement du Bouddha et on le compare souvent au rugissement d'un lion. En savoir plus le lion bouddhiste Swastika Dans la tradition bouddhiste, la croix gammée symbolise les pieds ou les empreintes du Bouddha et est souvent utilisée pour marquer le début des textes. Le bouddhisme tibétain moderne l'utilise comme décoration vestimentaire. Avec la diffusion du bouddhisme, il est passé dans l'iconographie de la Chine et du Japon où il a été utilisé pour désigner la pluralité, l'abondance, la prospérité et la longue vie. En savoir plus sur Swastika Les quatre rois célestes Les Quatres rois gardiens - Dans la foi bouddhiste, les quatre rois célestes sont quatre dieux gardiens, dont chacun veille sur une direction cardinale du monde. En savoir plus les quatres rois célestes Yeux de Bouddha Yeux de Bouddha - Aussi appelés Yeux de Sagesse, cette paire d'yeux est généralement représentée sur les quatre côtés des sanctuaires bouddhistes connus sous le nom de Stupas. Le symbole indique les yeux omniscients et omniscients de Bouddha et est représentatif de la présence du Seigneur tout autour. La ligne bouclée sous les yeux au milieu où le nez est sur un visage est le chiffre sanscrit qui symbolise l'unité de tout et signifie également que la seule façon d'atteindre l'illumination est par les enseignements du Bouddha. Le point entre les yeux est indicatif du troisième œil, qui représente l'éveil spirituel. En savoir plus les yeux de Bouddha Vajra Le Vajra est un symbole tantrique bouddhiste représentant une grande puissance spirituelle et la fermeté de l'esprit. Il symbolise l'une des trois branches principales du bouddhisme, le Vajrayana. Formé comme une massue à tête sphérique nervurée, le Vajra symbolise les attributs d'un diamant pureté et indestructibilité ainsi que les propriétés d'un éclair énergie irrésistible. Elle représente aussi une créativité sans fin, une activité habile et puissante. Dans le bouddhisme tibétain, le Vajra est aussi un outil rituel et est connu sous le nom de Dorje. Il est utilisé avec une cloche par les lamas et autres pratiquants de sadhana. En savoir plus sur Vajra Ensō Dans le bouddhisme zen, ensō est un symbole sacré souvent appelé "Le Cercle des Lumières". C'est un cercle dessiné à la main en un ou deux coups de pinceau pour exprimer un moment où l'esprit est libre de laisser le corps créer. Certains artistes dessinent ensō comme un cercle ouvert, tandis que d'autres complètent le cercle. Au début, ensō peut paraître comme un cercle grossièrement dessiné, mais il symbolise beaucoup de choses la force, l'élégance, l'univers, notre moi véritable et le plus intime, la beauté dans l'imperfection, et l'unicité de toutes choses dans la vie. Il symbolise également l'état méditatif parfait ou l'illumination. Ensō est une expression visuelle du Soutra du Cœur. La forme est vide et le vide est une forme - un cercle dans lequel tout est contenu à l'intérieur, ou également exclu par ses limites. En savoir plus sur Enso Aum Om Om, également écrit comme Aum, est une syllabe mystique et sacrée qui provient de l'hindouisme, mais qui est maintenant commune au bouddhisme et aux autres religions. Dans l'hindouisme, Om est le premier son de la création et symbolise les trois étapes de l'existence naissance, vie et mort. L'utilisation la plus connue de Om dans le bouddhisme est dans Om Mani Padme Hum, le "Six-Syllable Great Bright Mantra" du Bodhisattva de la compassion, Avalokiteśvara. En chantant ou en regardant les syllabes, nous invoquons la compassion du bodhisattva et lui inculquons ses qualités. AUM Om se compose de trois lettres séparées, A, U et M. Elles symbolisent le corps, l'esprit et la parole du Bouddha ; "Mani" est pour le chemin de l'enseignement ; "Padme" pour la sagesse du chemin, et "hum" désigne la sagesse et le chemin vers elle. En savoir plus sur le Symbole Om/Aum Les Trois joyaux bouddhiste Les Trois Joyaux sont aussi appelés les Trois Refuges. Lorsqu'une personne accepte l'enseignement bouddhiste et veut l'intégrer dans sa vie, la voie traditionnelle est de se réfugier avec les trois joyaux, les éléments les plus précieux du chemin bouddhiste. Le premier joyau est le Bouddha, illuminé ou éveillé, ainsi que notre propre nature de Bouddha. Le deuxième joyau est le Dharma, le chemin qui suit les enseignements du Bouddha et conduit à l'éveil. La Sangha est le troisième joyau précieux. Les trois bijoux sont aussi un symbole pour l'esprit du diamant, qui peut couper à travers toute illusion. Le bijou jaune symbolise le Bouddha, le bijou bleu symbolise le Dharma et le bijou rouge symbolise la Sangha. En savoir plus sur les Trois Joyaux Le bol à aumônes La coupe de l'aumône est l'un des principaux symboles de la vie monastique. Chaque moine et chaque religieuse reçoit une coupe quand ils sont initiés et l'emporte avec eux partout où ils vont. Ils acceptent n'importe quelle nourriture offerte pour leur nourriture et servent de bénédiction pour celui qui donne. De cette façon, le bol symbolise la voie du milieu entre le donneur et le receveur. Selon la légende, l'esthétique Siddhartha pratiquait l'austérité jusqu'à ce qu'il soit presque affamé. Une jeune femme lui offrit un bol d'or rempli de riz et de lait, qu'il prit. Après avoir mangé, il jeta le bol dans la rivière, comme symbole de renoncement. Cette histoire symbolise un autre aspect de la voie du milieu, qui est d'éviter les pratiques extrêmes et les attachements extrêmes. En savoir plus sur Le bol à aumônes Cloche Bouddhiste Depuis l'Antiquité, les cloches des temples invitent les moines et les nonnes à la méditation et aux cérémonies. Le doux son d'une cloche pendant le chant aide les disciples à se concentrer sur le moment présent et à se libérer des soucis quotidiens. Un sentiment de paix et de calme peut être renforcé par le son de la cloche. Pour cette raison, les cloches à vent sont souvent accrochées à l'avant-toit des stupas et des temples pour créer des espaces paisibles et méditatifs, avec leurs tintements sonores. La sonnerie de la cloche est un symbole de la voix du Bouddha. Elle représente aussi la sagesse et la compassion, et est utilisée pour appeler les divinités célestes à la protection et pour éloigner les mauvais esprits. Beaucoup de vieux temples ont des cloches aux entrées qu'il faut sonner avant d'entrer. Les cloches sont disponibles dans une large gamme de tailles et de styles. En savoir plus sur la Cloche bouddhiste Drapeau bouddhiste Les six couleurs du drapeau bouddhiste représentent les six couleurs de l'aura du Bouddha quand il a atteint l'illumination. Le bleu représente la compassion universelle, le jaune pour la voie du milieu, le rouge pour les bénédictions, le blanc pour la pureté et la libération et l'orange pour la sagesse. La sixième couleur est la combinaison des autres couleurs et n'est pas affichée. Le drapeau a été conçu en 1880 par un journaliste américain, le colonel Henry Steele Olcott. Les rayures horizontales représentent l'harmonie entre les races, et les rayures verticales représentent la paix entre les nations, le tout sous le bouclier de la sagesse du Bouddha. En savoir plus sur le Drapeau Bouddhiste - Autres sources
Oiseau de nuit de référence, la chouette ou le hibou est un animal mystérieux à la symbolique riche. En effet, elle est très souvent annonciatrice de changement, tout en incarnant la sagesse et l'intuition... Avoir la chouette comme animal totem est un moyen de percevoir ce qui est caché, ce qui est illusoire et ainsi partir à la découverte de l’inconnu. Plongeons ensemble dans la signification de la chouette comme animal totem. Signification à travers les traditions La chouette possède de nombreuses significations au sein de différentes traditions chamanes, celtes, ou provenant du moyen-âge. Longtemps considérée comme un oiseau de mauvais augure comme le corbeau, elle était le signe d’une mort imminente ou de mauvaises nouvelles dans la ruralité d’autrefois. Pourtant, dans les traditions amérindiennes ou chez les Grecs anciens, la chouette était liée à d’autres symboles comme celui de la femme, de la fertilité et de la protection. Symbole du féminin, de la lune et de la nuit, la chouette a été à la fois adorée et détestée pour ces raisons. Tantôt protectrice et annonciatrice d’une naissance qui se passe bien, tantôt rejetée comme l’incarnation du diable à cause de son vol de nuit et de son cri singulier, la chouette a fait parler d’elle à travers les âges. Beaucoup ont cru à travers le monde qu’elle possédait de grands pouvoirs de guérison, notamment par son association avec la lune et, par extension, au monde magique. Au-delà du messager des ténèbres, la chouette est un animal mystique qui incarne la magie de la vie et de la création. Fécondité, séduction, protection, guérison sont des notions liées aux énergies Yin féminines et au domaine de l’intuition et de la création. Dans la mythologie grecque, la chouette était associée à la déesse Athéna et elle était un symbole de la plus haute sagesse. Pour les premiers chrétiens, elle était associée à Lilith, la première femme qui refusa d’être soumise à Adam, son mari. Pour les peuples natifs américains, les Indiens Pawnees, cet animal spirituel était un symbole de protection alors que pour les Ojibwés, elle incarnait le mal et la mort. Bref, vous l’aurez compris, la chouette à de nombreux secrets à révéler. Si votre animal totem est la chouette, il se peut que vous incarniez tout cela à la fois l’intuition, le renouveau et la protection. Symbolisme de l’animal totem chouette Se reconnecter à son intuition Fortement liée à la lune, la chouette, tout comme le hibou, relève du domaine de l’intuition. Sa connaissance intuitive, ses sens développés comme l’ouïe ou la vue, en font un animal doté d’une très forte intuition. Elle sait où elle doit aller pour nourrir ses petits, elle sait reconnaitre son partenaire. Redoutable chasseuse, la chouette régule la population de rongeur dans la nature. Se connecter à la chouette revient à trouver en soi la voix qui sait celle des âmes, de l’intuition, de la connaissance intuitive. Derrière les masques et les peurs qui proviennent souvent du passé, vous savez ce que vous devez faire, vous savez où vous devez aller. Faites cesser le bruit du mental grâce à la méditation ou une activité d’ancrage. La chouette vous invite à entrer dans le silence de la nuit pour entendre le murmure de votre intuition. Ayez confiance, elle ne se trompe jamais. La mort et le changement Alors que nos ancêtres voyaient une mauvaise augure dans le vol de la chouette, nous décidons d’y voir dans le côté positif et symbolique la mort n’est que l’annonce d’un renouveau. La chouette est un animal totem spirituel qui annonce le changement un changement de situation ou un changement de paradigme sont tous deux annonciateurs de la nouveauté. Vous vous transformez, vous quittez une situation qui ne vous convient plus pour en créer une nouvelle. La vie est un cycle et chaque fin de cycle amène une mort qui permet de mieux renaitre. Cette énergie de changement amenée par l’animal totem chouette est aussi directement en lien avec la création et la fertilité. Créer des projets comme créer la vie amène de grands changements et vous fait changer d’état d’esprit. Puisqu’il s’agit de ça aussi avec la chouette changer son point de vue. Comme l’animal qui peut tourner sa tête à 270° et voir les choses sous un nouvel angle, vous serez à même de percevoir de nouvelles informations dans une situation qui vous allait jusque-là. La chouette vous invite à repenser les choses, les évènements et vos relations pour, peut-être, créer un nouvel équilibre qui vous conviendra plus. Mettez fin à vos vieilles habitudes, changez vos lunettes pour voir la vie autrement et évoluer vers la meilleure version de vous-même. Offrez-vous votre Bracelet Chemin de Vie sur-mesure ✅ Trouvez enfin le sens de votre vie ! ✅ Comprenez et libérez vos blocages émotionnels ✅ Trouvez votre place et réalisez-vous pleinement ✅ Profitez d'un profond sentiment de sérénité VOIR MON BRACELET Percevoir la vérité La chouette en tant qu’animal totem est là pour que vous puissiez identifier votre vérité. Inutile de vous plier à ce que l’on vous dit de faire ou d’être. Qui êtes-vous ? Que voulez-vous vraiment ? Faites tomber les masques, vos masques et décelez la vérité. Chez vos partenaires, vos collègues ou au sein de votre famille, apprenez à voir dans l’obscurité des secrets et des non-dits. La chouette vous aide à voir plus loin, à aller derrière le rideau, s’intéresser à ce que l’on cache. Que cela soit caché à l’intérieur de vous ou à l’intérieur des personnes qui vous entourent, connectez-vous à votre intuition pour percevoir tout ce que l’on ne dit pas. La chouette est clairvoyante, elle comprend que certaines choses nous dépassent et nous empêchent d’être nous-mêmes. Grâce à elle vous arrêtez de demander la permission d’exister. Elle comprend les mécaniques et les enjeux de votre environnement et vous invite à les dépasser et à voir plus loin que ce que l’on vous montre. La curiosité de l’inconnu La nuit est aussi le royaume des mystères et de l’inconnu. La chouette est un oiseau nocturne qui s’y déplace avec curiosité, à l’affut des rongeurs et autres petits animaux de nuit qu’elle pourrait chasser. Comme elle, soyez curieux et n’ayez pas peur de l’inconnu. Une fois que l’on a mis la lumière sur ce qui est caché, la peur se dissipe. Entrez dans cette partie cachée de vous-même avec les yeux d’un enfant en soif de découverte. Comme la chouette, utilisez votre intuition pour découvrir les merveilles encore invisibles. La chouette, en tant qu'animal totem, vous invite à percevoir dans les ombres, dans les ténèbres, les trésors cachés et les possibilités qui s’offrent à vous. Le monde est infini, seul notre esprit nous contraint à une place. Votre intuition, elle, sait qu’un monde plus grand est encore à découvrir alors faites-lui confiance, comme vous faites confiance à la chouette. Tout est possible. Animal Totem Chouette Conclusion Si vous voyez régulièrement une chouette dans vos rêves, que vous vous sentez connecté à cet animal ou que vous savez grâce à des séances avec des chamans par exemple, que la chouette est votre animal totem, reconnectez-vous à votre intuition. Les animaux totems sont là pour vous délivrer un message et vous guider sur votre chemin de vie. La chouette vous protège et vous apporte les connaissances et la clairvoyance nécessaires au renouveau et à la création de nouvelles idées ou projets. La nuit est mystique et nous fait peur, mais faites confiance à l’instinct de la chouette pour vous guider à travers les ténèbres de votre esprit. La peur est normale, mais grâce à la chouette qui vous protège, vous apprendrez à la dépasser en vous connectant à votre intuition et en vous laissant guider. Articles en rapport Quel est mon Animal Totem et quelle est sa signification ?Animal Totem Loup sortez les crocs !Animal Totem Renard plus malin que mesquinAnimal Totem Serpent affrontez votre dualité Quiz trouvez votre pierre en moins d'une minute 🔮 Améhyste, Oeil de Tigre, Quartz Rose ou encore Oeil de Faucon ? Découvrez quelle pierre correspond à votre personnalité en cliquant ici..
Nous rencontrons dans les temples et monastères bouddhistes beaucoup d’objets rituels tels que les statues de bouddha ou d’autres divinités, des moulins de prière ou des tableaux de peinture. Si certains de ces objets sont exclusivement bouddhistes, d’autres sont communs au bouddhisme et à l’hindouisme. Beaucoup de sympathisants du bouddhisme achètent ces objets pour les utiliser dans la pratique régulière du bouddhisme ou tout simplement pour les placer chez eux afin qu’elles leur apportent une sensation de bien-être, de zen et de calme. Il est donc intéressant de comprendre ce que symbolise chacun de ces objets. Cet article n’est pas exhaustif et liste les principaux symboles rencontrés. 1. Ashtamangala les 8 signes auspicieux du bouddhismea. Le parasol ou l’ombrelleb. Les deux poissons dorésc. La conque ou le coquillaged. La roue du Dharma ou Dharmachakrae. La fleur de Lotusf. La bannière de la victoireg. La vaseh. Le nœud éternel ou le nœud sans fin2. Objets de pratiquea. Les moulins à prièresb. Les bols chantantsc. Le Vajrad. Les Malas3. Statues et présentations de Bouddhaa. Les statues du Bouddhab. Le regard du bouddha4. Écrituresa. Om̐, Om ou Aumb. Om maṇi padme hūmc. Kalachakra4. Autres statues de divinitésa. Tarab. Ganeshc. Shiva 1. Ashtamangala les 8 signes auspicieux du bouddhisme Il existe dans le bouddhisme huit symboles auspicieux qui dérivent tous de l’iconographie indienne. Les huit signes de l’Ashtamangala Dans le bouddhisme, ces symboles représentent des offres des dieux faites au Bouddha après son illumination et peuvent être trouvés dans l’art de la plupart des écoles du bouddhisme, en particulier dans le bouddhisme tibétain. Dans certains monastères chinois, les symboles sont placés sur des socles en lotus devant les statues du Bouddha. a. Le parasol ou l’ombrelle Beaucoup pensent que ce symbole est un parapluie mais c’est faux, il s’agit plutôt d’un parasol ou d’une ombrelle. Le parapluie protège contre la pluie alors que le parasol protège contre la chaleur. C’est d’abord un symbole de la dignité royale et la protection de la chaleur du soleil, symbole des obstacles, accidents, problèmes et maladies. Il représente dans le bouddhisme la protection de la souffrance et la joie de la fête des actes positifs apportée par son ombre. b. Les deux poissons dorés Les deux poissons étaient à l’origine le symbole de la rivière Yamuna et du Gange, mais ils sont devenus par la suite le symbole de la bonne fortune, de la fertilité et de la prospérité, aussi bien chez les hindous que chez les bouddhistes. Dans le bouddhisme, les deux poissons sont aussi symbole des êtres vivants qui pratiquent le dharma et qui ne doivent pas craindre de se noyer dans l’océan de souffrance puisqu’ils peuvent librement migrer en choisissant leur renaissance comme des poissons dans l’eau. c. La conque ou le coquillage En Asie, la conque a longtemps été utilisée comme un cor de bataille. Dans les temps anciens la conque blanche représentait également la caste Brahmane chez les Hindous. Par ailleurs, dans le bouddhisme, une conque blanche représente le son du dharma qui permet d’éveiller les êtres et les inciter à sortir de l’ignorance et accomplir leur propre bien. d. La roue du Dharma ou Dharmachakra La roue du Dharma symbolise la loi bouddhiste. Elle est le symbole le plus important du bouddhisme et représente l’enseignement du Bouddha qui fût le premier à la mettre en mouvement. Elle représente aussi le cycle sans fin de la naissance et la renaissance. Quand le bouddha a prononcé son premier sermon, il a exposé sa doctrine des quatre nobles vérités et des huit marches. Ainsi, la roue est souvent représentée par quatre ou huit branches symbolisant les quatre nobles vérités et les huit marches. e. La fleur de Lotus Le lotus, fleur emblématique d’Asie, est le symbole de la purification du corps, de la parole et de l’esprit. Le lotus est profondément enraciné dans la boue et la tige se développe à travers l’eau sombre. Ses racines sont dans la vase, sa tige est dans l’eau et sa fleur flotte majestueusement sur l’eau. En outre, la fleur de Lotus représente la progression de l’âme au travers, d’abord du matérialisme, en passant par l’eau de l’expérience avant d’atteindre le soleil de l’illumination. Dans le bouddhisme, le lotus représente la véritable nature des êtres, qui a lieu à travers le samsara dans la beauté et la clarté de l’illumination. Les couleurs du lotus sont aussi importants • Blanc c’est la couleur mentale et spirituelle de pureté • Rouge symbole du cœur, de compassion et d’amour • Bleu symbolise la sagesse et le contrôle des sens • Rose renvoie au Bouddha historique • Violet symbole du mysticisme f. La bannière de la victoire La bannière de la victoire symbolise la victoire du Bouddha sur le démon Marra et sur ce que représente Mara la passion, la peur de la mort, la fierté et la luxure. De même, elle est aussi le signe de la surmonte des obstacles et le triomphe sur l’ignorance grâce aux actes accomplis par le corps, la parole et l’esprit. g. La vase La vase de trésor est remplie de choses précieuses et sacrées. Elle symbolise la longue vie et la prospérité intellectuelle. La vase renvoie à l’abondance. Elle contient le nectar de l’immortalité et tout ce qui est bon spirituellement pour l’homme. Un joyau étincelant est placé sur son embouchure. h. Le nœud éternel ou le nœud sans fin Le nœud éternel est composé de lignes liées dans une structure fermée. Il représente la dépendance et l’interdépendance de tous les phénomènes. Il symbolise aussi la loi de cause à effet et l’union de la compassion et la sagesse ou du vide et de l’interdépendance. Pour les bouddhistes, le nœud éternel est le symbole du samsara un monde de souffrance où on naît et on meurt en boucle et qu’il faut quitter pour atteindre le nirvana. 2. Objets de pratique a. Les moulins à prières Les moulins à prières ou roues de prières sont des objets culturels caractéristiques dans le bouddhisme tibétain. Généralement, ces objets prennent la forme d’un cylindre dans lequel on écrit des mantras et qui peut tourner autour d’un axe. Ces moulins à prières peuvent être de différentes tailles. Les moulins de prières les plus fréquents mesurent quelques dizaines de centimètres. Dans certains monastères bouddhistes tibétains, ils peuvent atteindre plusieurs mètres. Selon la croyance tibétaine, faire tourner le moulin à prière de la main droite dans le sens des aiguilles d’un montre est l’équivalent d’une récitation d’une prière du mantra. b. Les bols chantants Les bols chantants sont des objets en métal ayant une forme de cloche renversée qu’on trouve dans certains monastères bouddhistes et qu’on fait résonner à l’aide d’un maillet. Historiquement, les bols chantants étaient utilisés dans les cérémonies funéraires dans les régions de l’Himalaya et dans le nord de l’Inde. En raison de leur tonalité particulière et harmonieuse, ils sont utilisés dans les monastères lors des séances de prières ou de méditation pour annoncer le début ou la fin des séances ou pour signaler le changement d’activité lors des chants bouddhistes. c. Le Vajra Le vajra est un mot sanskrit appelé aussi Dorjé en tibétain qui signifie diamant ou foudre. C’est un symbole important dans le bouddhisme vajrayāna appelé aussi le bouddhisme de la voie de diamant et l’hindouisme. Le vajra est un objet rituel qui représente l’upaya, moyen efficace pour détruire l’ignorance. Les symboles les plus fréquents en occident de cet objet sont sous forme de deux vajras croisés appelés visvavarja en sanskrit ou vajra de l’univers et dorjé gyatram en tibétain. Ils symbolisent l’éveil parfait du bouddha par la connaissance vajra vertical et l’amour vajra horizontal afin d’embrasser l’être entier et toutes les créatures. Généralement, les bouddhistes associent la cloche Ghanta féminin au Vajra masculin afin de symboliser le masculin et le féminin, la compassion et la sagesse. d. Les Malas Les malas sont des objets de dévotion religieuse composés par 108 grains ou graines utilisés par les bouddhistes pour compter les récitations de mantras lors des prières. Les malas sont fabriqués à partir de bois, verre, os ou pierres semi-préciseuses. Les 108 pierres signifient les épreuves que le bouddha a dû subir. Dans certains malas, il y a inséré des perles plus grosses chatumaharaja ou des objets symboliques gantha ou vajra par exemple. Pendant les séances de méditation, un effort conscient est nécessaire pour changer de perle avec les doigts sans que cela ne nécessite une perturbation de la concentration du méditant. 3. Statues et présentations de Bouddha a. Les statues du Bouddha Les statues de bouddha sont certainement les représentations les plus fréquentes dans les lieux de pratique du bouddhisme. Ces illustrations se présentent le plus souvent sous forme d’un bouddha assis en train de méditer. Cependant, on rencontre aussi d’autres formes de statues de bouddha. Ainsi, il est fréquent de trouver des bouddhas allongés, voire même dans certains cas des bouddhas rieur et gros. Il existe une différence entre ces différentes statues de bouddha. En effet, si le bouddha en position de méditation symbolise bien le bouddha historique, le bouddha gros n’a rien à voir avec le bouddha sakyamuni. b. Le regard du bouddha Le regard de bouddha est un symbole très présent dans les monastères et temples bouddhistes. On le schématise souvent par des yeux, des sourcils et un nez. Les yeux du bouddha n’expriment ni tristesse, ni joie, ni colère. C’est un regard qui nous fait penser qu’il voit et qui sait tout. Il symbolise son implication dans la vie quotidienne. Le nez du regard de bouddha est symbolisé par le chiffre 1 en népalais. D’ailleurs, ce chiffre ressemble à un point d’interrogation dans les signe de ponctuation utilisées dans les langues occidentales. Son but est de rappeler le caractère unique de bouddha. 4. Écritures a. Om̐, Om ou Aum Aum ou Om ou Om̐ est une syllabe sanskrite représentant le son originel ou le verbe éternel créateur. Cette syllabe se trouve dans plusieurs religions telles que l’hindouisme, le bouddhisme et le jaïnisme. Dans l’hindouisme, Om représente la vibration divine et originelle à partir de laquelle tout l’univers fut créé. C’est d’ailleurs le symbole le plus important qu’on trouve dans tous les textes sacrés de l’Inde. Om̐ est aussi le mantra le souvent chanté dans les cours de yoga. Dans le bouddhisme, la syllabe Om, et sous l’influence de l’hindouisme, a été introduite au Tibet et s’est alors développé dans les mantras. D’ailleurs, plusieurs mantras l’utilisent dont, par exemple, le mantra Om mani padme hum du bouddhisme mahāyāna. Om est le symbole du non affectable qui ne peut pas être détruit. Répéter le Om à voix basse permet d’avoir un sentiment de plénitude et de revenir vers notre essence. b. Om maṇi padme hūm Om maṇi padme hūm est l’un des plus connus et des plus célèbres mantra du bouddhisme mahayana. Il s’agit du mantra de la compassion. Le but de ce mantra est de réveiller la mémoire de l’être humain divin, d’activer le joyau du lotus qui est en chacun de nous afin qu’on puisse manifester notre divinité sur terre dans la joie d’une unité retrouvée. Ce mantra signifie le joyau du lotus ». AUM la syllabe Aum renvoit au Corps, à la Parole et l’Esprit. L’Esprit est pur quand la personne atteint l’illumination. MANI ou joyau reflète l’intention du pratiquant à devenir illuminé et plein de compassion. PADME ou lotus Symbolise la sagesse. HUM ou unité indivisible Cette syllabe peut être traduite par méthode indivisible ou chemin emprunté de la sagesse. c. Kalachakra Kalachakra signifie en langue sanskrit la roue du temps. Il s’agit d’un texte important dans certaines traditions du bouddhisme tibétain et est considéré – avec son commentaire vimalaprabha – comme le principal support d’enseignement kalachkara du bouddhisme tibétain. Ce cycle d’enseignements serait attribué au Bouddha et il le confia à l’un de ses disciples. Vers le Xème siècle, un sage indien le reçut et c’est à lui que l’on doit sa diffusion, qui n’a concerné pratiquement que l’univers du bouddhisme tibétain. En tant qu’objets rituels, le kalachakra est présente le plus souvent sous forme d’impression photographique, de tapis ou de posters en différentes formes et tailles. 4. Autres statues de divinités a. Tara Tara est un nom sanskrit qui signifie étoile, libératrice ou celle qui fait passer à l’autre rive. Dans le bouddhisme et l’hindouisme, Tara est un personnage féminin considéré comme un bouddhisattva qui a des pouvoirs miraculeux. Les bouddhistes de différentes écoles du Vajrayana en particulier le bouddhisme tibétain considèrent que Tara permet de comprendre les enseignements intérieurs et extérieurs de la compassion et de protéger des dangers physiques. En outre, Le bouddhisme tibétain la considère comme la mère de tous les bouddhas et la libératrice et protectrice des dangers réels et spirituels. Nous distinguons 21 formes de Tara. Parmi les plus connues, on distingue la Tara verte et la Tara blanche. D’abord, la Tara verte est le symbole de la bienveillance. C’est une déité qui permet de surmonter les situations compliquées et d’offrir du réconfort. Le Mantra de la Tara verte est le Om Taré Touttaré Touré Soha. C’est le deuxième mantra le plus récité par les bouddhistes tibétains après le Om Mani Padmé Hum. Ensuite, la Tara blanche est le symbole de la pacification, de la longévité et la santé. b. Ganesh Ganesh est un symbole très rencontré dans l’hindouisme et le bouddhisme japonais. Quant à sa représentation, elle est sous la forme d’un corps d’enfant de couleur rouge, à 4 bras et ayant une tête d’éléphant, accompagné de son véhicule vâhana un rat ou une souris Mûshika. Dans l’hindouisme, Ganesh est le dieu le plus vénéré en Inde. Il est le symbole de l’union du divin et de l’humain. Il est le dieu de la sagesse, de l’intelligence, de la prudence, et qui permet de supprimer les obstacles. Dans le bouddhisme japonais, il a été introduit par l’école ésotérique shingon sous le nom de Kanguiten ou shoten sama le dieu de la joie. c. Shiva Shiva est l’un des principaux dieux de l’hindouisme. Il est l’un des dieux les plus compliqués à comprendre et représente surtout la fin et la mort. En conséquence, il est le dieu destructeur. Dans la religion hindouiste, la destruction ne marque pas la fin. Elle est dans l’ordre des choses. En effet, la destruction permet la création d’un nouveau monde. Shiva possède 3 yeux qui représentent respectivement le soleil, la lune et le feu. Ces 2 yeux sont à moitié ouverts et le troisième œil étant toujours fermé. Quand ses 2 yeux se ferment, l’univers prend fin et un nouveau cycle commence. Chez les hindouistes, Shiva et le seigneur bienveillant qui permet de se débarrasser de tout ce qui est mauvais en nous. Shiva permet donc de détruire tout ce qui est mauvais pour mieux reconstruire. Il est représente sous la forme d’un homme ayant de longs cheveux à partir desquels coule le Grange, le rendant ainsi sacré, assis, et possédant entre 2 et 18 bras. Les attributs qui lui sont liés sont nombreux. Le plus souvent, ces attributs comprennent un trident appelé Trishula, symbole des fonctions de la création, conservation et destruction, un croissant de lune sur la tête symbolisant la renaissance, une hache, un antilope, une peau de tigre pour symboliser sa domination sur la nature et un serpent autour du cou pour symboliser la puissance. Il a pour véhicule un taureau blanc appelé Nandi. Shiva est le père de Ganesh.
signification bouddha qui se cache les yeux