le discours d un roi musique beethoven
2010– « Le discours d’un roi » Dans les années 1930, Georges VI devenu roi d’Angleterre en raison de l’abdication de son frère aîné Édouard VIII surmonte un terrible handicap de langage pour prononcer, en septembre 1939, le discours radiophonique d’entrée du Royaume-Uni dans la guerre. La musique de Beethoven accompagne la
AuteurLudwig van Beethoven (1770-1827) Documents disponibles écrits par cet auteur Affiner la recherche. Concerto pour violon et orchestre en ré majeur, Op.61 / Ludwig van Beethoven )) .) Les grands classiques du cinéma / Richard Wagner )) .) Intégrale des sonates pour piano et
Lédition inaugurale FOCUS se penche sur les multiples aspects du grand Beethoven. Le directeur musical du CNA, Alexander Shelley, met en lumière le génie créatif du compositeur, dont l’œuvre a radicalement transformé la musique classique. L'édition se penche aussi sur l’homme derrière la musique : mû par un grand respect pour la tradition, il a été, presque à son corps
ProgrammeGulli du dimanche 04 septembre 2022. La grande vidéo party 1h10 - Magazine jeunesse Ariane Brodier revient cette semaine accompagnée de nouveaux invités pour un numéro inédit de
Attention! Ce mouvement de la 7ème Symphonie de Beethoven est un véritable tube planétaire ! Il a été repris dans de nombreux films comme Lola de Jacques Demy ou, plus récemment, Le discours d’un Roi de Tom Hooper. Un motif rythmique très caractéristique scande le début du mouvement, imposant la tonalité funèbre de toute la pièce. Puis une envoûtante mélodie
Phrase De Présentation Pour Site De Rencontre. 28 Février 2011 , Rédigé par Antoine Rensonnet Publié dans Critiques de films récents Le Discours d’un roi, film programmé pour les oscars et néant cinématographique quasi-absolu. Ce naufrage consensuel autant qu’attendu, qui nous offre une relecture toute rose de l’histoire britannique, permet toutefois de rappeler qu’Hitler était malheureusement un grand orateur et que la musique de Beethoven est sublime. Georges VI Colin Firth Le Discours d’un roi est un film diablement iconoclaste, jugez plutôt on y voit un roturier, orthophoniste autodidacte, Lionel Logue Geoffrey Rush, s’asseoir sur le trône royal alors que sa majesté Georges VI Colin Firth n’hésite pas, pour vaincre ses difficultés de diction, à prononcer des tonnes de grossièretés notamment des Fuck’’ bien sonores. Et, en plus, les deux finiront amis pour la vie s’appelant, faisant fi de tous les usages, Lionel et Bertie… Arrêtons là ; on a, en effet, rarement vu une œuvre aussi respectueuse des conventions sociales et si soucieuse de préserver l’histoire dorée de la Grande-Bretagne que ce film signé Tom Hooper. On le sait Edouard VIII ici incarné par Guy Pearce a été obligé de quitter le trône non parce qu’il briguait la main de Wallis Simpson Eve Best, Américaine deux fois divorcée aux mœurs légères mais parce que celui-ci et celle-là étaient soupçonnés de sympathies pronazies. Quant au roitelet qui lui succéda, son frère Georges VI donc, il ne devait jouer qu’un rôle parfaitement symbolique durant la Seconde Guerre mondiale. Mais, il n’est point question d’évoquer ici ces points qui pourraient effaroucher les âmes vraiment très sensibles et c’est donc un monde politique ah, la dignité de Stanley Baldwin – Anthony Andrews – qui démissionne de son poste de Premier ministre parce qu’il estime avoir failli ; oh, la charismatique figure de Winston Churchill – Timothy Spall – qui se dessine en creux et royal qu’il est touchant, ce pur amour d’Elizabeth – Helena Bonham Carter – pour son roi de mari tout rose qui nous est ici présenté. Lionel Logue Geoffrey Rush Cela ne serait rien si le film réussissait à faire quelque chose des deux enjeux majeurs – notamment de cinéma – qu’il se propose de traiter la nécessité des personnages publics de devenir des acteurs et la puissance de la parole. Une attendue mais pertinente mise en abyme serait possible et souhaitable. Mais, on aura beau bien creusé, rien n’en sera tiré au-delà de leur simple évocation. Il faudra donc se contenter du cabotinage, à la limite du supportable, de Geoffrey Rush et de la performance d’acteur – qui n’impressionne guère – de Colin Firth dans un rôle difficile ». Peut-être seront-ils récompensés par l’académie des Oscars mais c’est peu de dire, à deux ou trois répliques près qui arrachent un sourire, que ne nous n’avons guère été convaincus par leur duo… Pas plus que la mise en scène de Tom Hooper, sans invention aucune, même s’il réussit parfois bien à montrer l’immensité de certaines pièces. N’y aurait-il donc rien à retirer de ce Discours d’un roi ? Si, trois choses qui en soulignent la dramatique faiblesse. Tout d’abord, le meilleur moment de cinéma – et celui dans lequel s’exprime le mieux le pouvoir de la parole – est incontestablement un extrait d’images d’archives d’un Congrès du parti nazi dans lequel s’exprimait Adolf Hitler. Oui, les Allemand avaient alors d’excellents techniciens héritage de leur sublime cinéma des années 1920 et leur dictateur belliciste et raciste était un orateur aussi excellent qu’effrayant. Ensuite, le grand moment d’émotion que devait constituer le fameux discours – celui lors duquel Georges VI annonce l’entrée en guerre de son pays – qui donne son titre au film est recouvert par une musique. Choix très étonnant de mise en scène puisqu’il s’agissait là de nous faire sentir toute la puissance des mots. On ne le regrettera nullement car il permet d’écouter le sublime allegretto de la Septième Symphonie de Ludwig van Beethoven… et d’oublier quelques instants le pensum auquel on assiste. Enfin, ce discours qui annonce le plus grand conflit mondial de l’histoire de l’humanité est un pur happy end puisque le héros n’est plus bègue. Alors, là, oui, peut-être, Le Discours d’un roi se montre-t-il subversif. Mais on craint que ce soit totalement involontaire. Bref, une catastrophe… George VI et Lionel Logue Ran Note de Ran 0 Le Discours d’un roi Tom Hooper, 2010
Le clip d’entrée en campagne du polémiste d’extrême droite résonne des accents symphoniques de Ludwig van Beethoven. Libération» a sélectionné d’autres moments artistiques ou historiques bien plus n’y avait qu’une chose à sauver dans la vidéo mise en ligne ce mardi midi par Eric Zemmour pour annoncer sa candidature à la présidentielle, ce serait sa bande-son. Certes parasité par une voix triste débitant un couplet aussi décliniste que galvaudé, le deuxième mouvement de la Septième Symphonie de Beethoven s’y fait entendre. On peut rire de voir le chantre de la France éternelle» utiliser l’œuvre d’un compositeur allemand pour appuyer son propos. Et se bidonner encore un peu plus quand on découvre que l’admirateur de Napoléon utilise une symphonie dont la première exécution fut donnée par le grand Ludwig le 8 décembre 1813… lors d’un concert à Vienne, événement de charité donné pour des soldats autrichiens blessés et moment d’exaltation des troupes de la sixième Coalition opposée à la Grande Armée de l’Empereur des fois le rire retombé – et pour continuer de conjurer l’effroi, on peut aussi picorer quelques exemples d’utilisations bien plus heureuses de ce mouvement lancinant et majestueux. Voici nos cinq itérations préférées du deuxième mouvement de la Septième Symphonie de Beethoven.Lola» de Jacques Demy 1961Une décapotable américaine qui arrive sur le front de mer de La Baule. En sort un mystérieux personnage, lunettes de soleil sur le nez, chapeau à larges bords sur le crâne et cigare au bec. Il s’avance vers la mer, impassible. Tire plusieurs bouffées sur son barreau de chaise. Plan sur son visage, travelling sur les flots, plan sur son visage. Il remonte dans sa caisse, démarre le moteur et la Septième Symphonie. Voilà comment s’ouvre Lola, de Jacques Demy. C’est franchement beau bien plus qu’une vidéo de Zemmour.Le Discours d’un roi» de Tom Hooper 2010Toujours au rayon cinéma et plus proche de l’exercice zemmourien, on peut citer le Discours d’un roi qui bégaie mais qui se soigne. Dans une séquence clé du film du réalisateur britannique Tom Hooper, le deuxième mouvement de la Septième Symphonie vient souligner l’adresse à la nation de George VI au déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. Le souffle de Beethoven fonctionne à plein pour accompagner ce discours de 1939 pour annoncer l’entrée du Royaume-Uni dans le conflit mondial autrement plus enlevé que la lecture monocorde proposée par Eric Zemmour.Poème sur la 7e» de Johnny Hallyday 1970Qui a couru sur cette plage ? Elle a dû être belle. Est-ce que son sable était blanc ? Est-ce qu’il y avait des fleurs jaunes ? Dans le creux de chaque dune ? J’aurais bien aimé toucher du sable…» Ce n’est pas là l’œuvre la plus connue de Johnny Hallyday et pourtant, elle mérite le détour. Poème sur la 7e annonce la couleur dans son titre il s’agit d’un texte déclamé sur la Septième Symphonie, dans une sorte de pastiche de ce qu’a pu faire un Léo Ferré au cours de sa carrière. Chez Johnny, le poème n’est pas signé Louis Aragon mais Philippe Labro et il installe une étonnante ambiance post-apocalyptique. Sortie en 1970, la voici interprétée en 1992, à Bercy, par un Johnny possédé.Exposition/We can work it out» de Deep Purple 1969Sur The Book of Talyesin», le deuxième album de Deep Purple, figurent deux emprunts de tubes» de la musique classique l’ouverture d’Ainsi parlait Zarathoustra de Wagner et le deuxième mouvement de la Septième Symphonie de Beethoven. Ce dernier introduit le double titre Exposition /We can work it out, qui est lui-même composé, dans sa deuxième partie, d’une reprise des Beatles. Le tout à la sauce psychédélique bien plus tripant que le candidat d’extrême novembre 1989, premier concert d’un Berlin réunifiéCélébrer la réunification plutôt que la division ? Trois jours après la chute du mur, Daniel Barenboim et le Philharmonique de Berlin décident d’offrir un concert à leurs frères de l’Est». Dans la nuit qui précède, certains dorment dans leur voiture pour ne pas rater ce moment. Pas de billet il suffit de présenter ses papiers d’identité. A l’époque, la Philharmonie de Berlin était perdue dans le no man’s land donnant sur la frontière avec Berlin-Est. Au programme de ce concert exceptionnel, deux œuvres phares de Ludwig van Beethoven la Septième Symphonie et le premier concerto pour piano.
Après le discours de Sa Majesté le Roi Mohammed VI à l’occasion du 69e anniversaire de la Révolution du Roi et du Peuple, l’espoir de voir les MRE jouir de leurs droits politiques, comme prévu par la Constitution, est de nouveau permis. Des voix s’élèvent en effet pour assurer la représentativité politique des Marocains du monde au sein du Parlement et de certaines instances consultatives. Ali Zbir, chercheur dans le domaine politique migratoire et président de l’Observatoire européen marocain de la migration, estime que le Discours Royal envoie des signaux plaidant pour l’implication effective des MRE dans tous les dossiers qui les concernent, y compris la participation politique. Le discours adressé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI à la Nation à l’occasion du 69e anniversaire de la Révolution du Roi et du Peuple a remis sur le tapis la centralité de la question des Marocains résidant à l’étranger et l’importance de leur contribution aux chantiers ouverts par le Royaume ces dernières années. Pour beaucoup de MRE, le moment est propice pour relancer le débat sur leur participation politique et donc l’application des dispositions constitutionnelles, notamment l’article 17 de la Loi fondamentale. Les Marocains résidant à l’étranger jouissent des droits de pleine citoyenneté, y compris le droit d’être électeurs et éligibles. Ils peuvent se porter candidats aux élections au niveau des listes et des circonscriptions électorales locales, régionales et nationales. La loi fixe les critères spécifiques d’éligibilité et d’incompatibilité. Elle détermine de même les conditions et les modalités de l’exercice effectif du droit de vote et de candidature à partir des pays de résidence», dispose cet article. Discours historique Mohamed Saoud, membre du comité exécutif du Parti de l’Istiqlal, en charge des Marocains du monde et des affaires migratoires, estime à juste titre que le discours de le Roi le 20 août est historique, car il réhabilite les MRE dans leur dignité. Nous espérons qu’il sera suivi d’actes et de mesures concrètes qui marqueront une rupture et qui mettront fin à l’anarchie institutionnelle et surtout à la marginalisation des Marocains du monde. le Roi insiste sur le fait que cette communauté a ses propres spécificités qui ne sont pas prises en considération», expliquet-il. Et d’ajouter qu’il est essentiel que les MRE puissent bénéficier des droits politiques qui leur sont refusés jusqu’à aujourd’hui». Pour sa part, Ali Zbir, chercheur dans le domaine politique migratoire et président de l’Observatoire européen marocain de la migration, estime que le Discours Royal à l’occasion de l’anniversaire de la Révolution du Roi et du Peuple est exceptionnel puisqu’il envoie des signaux plaidant pour l’implication des MRE dans tous les dossiers qui les concernent, y compris la participation politique. Il s’agit notamment de la mise en application des dispositions constitutionnelles, plus particulièrement les articles 16 et 17», insiste-t-il. Ces articles appellent à assurer la représentativité des Marocains du monde dans les institutions élues. Il s’agit également, ajoutet-il, de la mise en application de l’article 18 de la Loi fondamentale incitant les pouvoirs publics à assurer une participation aussi étendue que possible des MRE aux institutions consultatives et de bonne gouvernance créées par la Constitution ou par la loi. Il s’agit également d’œuvrer pour une application effective des dispositions prévues par l’article 163 de la Constitution. Ce dernier stipule que le Conseil de la communauté marocaine à l’étranger CCME est chargé notamment d’émettre des avis sur les orientations des politiques publiques permettant d’assurer aux Marocains résidant à l’étranger le maintien de liens étroits avec leur identité marocaine, les mesures ayant pour but de garantir leurs droits et préserver leurs intérêts, ainsi que de contribuer au développement humain et durable de leur pays d’origine et à son progrès». Participation politique Par ailleurs, Mohamed Saoud met en garde contre le retour aux débats dont les recommandations restent lettre morte. D’après ce qu’on comprend du Discours Royal, on a besoin aujourd’hui d’une mise en œuvre des Recommandations Royales et non pas de relancer un nouveau débat comme cela a été suggéré par certains. La solution est que les partis politiques aient assez de courage pour s’approprier les orientations de Sa Majesté le Roi et agir pour leur mise en œuvre. On compte sur le Chef du gouvernement pour mettre en place dans les meilleurs délais une commission dédiée, non pas pour trouver des solutions, mais pour mettre en application les solutions», plaide-t-il. M. Saoud appelle également à la nomination, en urgence, d’un ministre ou d’un secrétaire d’État chargé des MRE et de se pencher sur la réforme du CCME et des différentes lois relatives aux Marocains du monde. Il faut donner une vision, une fois pour toutes, relative à Al Jaliya pour savoir si elle pourra ou non participer aux réformes politiques du pays», déclare-t-il. Dans le même sens, le chercheur Ali Zbir rappelle que le Roi a toujours insisté sur l’intégration des MRE dans la vie politique. Je souligne à cet égard le discours du 6 novembre 2005, puis il y a eu la création du CCME, puis il y a eu l’élaboration de la nouvelle Constitution qui a explicitement mis en avant le droit de la participation politique… C’est aujourd’hui le rôle des partis politiques de militer pour assurer une représentativité des MRE à la Chambre des représentants, mais aussi à la Chambre des conseillers», propose-t-il.
J'avoue que je ne connaissais absolument pas l'histoire de George VI avant de voir ce film. C'est tout juste si le roi est évoqué dans la volumineuse biographie de Churchill que je viens de finir. Et si le défaut d'élocution de Winston est bien connu et rappelé dans le film, celui du roi l'est beaucoup moins. Tom Hooper et son scénariste réussissent donc le prodige de rendre passionnant la simple histoire d'un roi bègue et de son orthophoniste peu orthodoxe, en tenant en haleine le spectateur pendant presque 2 heures. Ce prodige n'est possible que par la grâce d'un casting génial et en particulier d'un acteur extraordinaire, Colin Firth, qui réussit à distiller une émotion sourde dès sa première apparition, émotion qui ne nous quittera plus jusqu'au dernier plan. Il parvient magnifiquement à incarner la royauté, dans le moindre de ses gestes. Il EST Georges VI, exactement comme Natalie Portman est Nina dans Black swan. D'ailleurs, l'analogie entre les deux films ne s'arrête pas là. Dans les deux cas, que voit-on ? La volonté en lutte contre le corps, le combat de l'esprit et de la matière. Les deux films sont servis par une mise en scène intelligente, il est vrai beaucoup plus classique dans Le discours d'un roi. que dans le film d'Aronofski. Et enfin, les deux films filent vers une représentation finale, qui est aussi un climax narratif, dans laquelle l'esprit finit par dominer le corps pour le meilleur, ou pour le pire.
Beethoven composa la Symphonie n°7 dans les années 1811-1812. C’est une œuvre où le rythme, plus que la mélodie, joue le premier rôle… Deux siècles plus tard, J. Hoarsley, pianiste de grand talent, revisite cette œuvre. Tradition ou trahison ? Je regarde cette vidéo une fois, peut-être deux. Quels sentiments, quelles émotions m’habitent en regardant cette vidéo ? De la musique Quelle beauté et quelle invention que la musique ! Des notes qui se suivent et s’accompagnent; un rythme donné ; une émotion suscitée… Quelle place la musique a-t-elle dans ma vie ? A quel genre de musique suis-je le plus sensible ? Une oeuvre grandiose Parmi toutes les compositions et créations, certaines traversent le temps. Leur mélodie, leur rythme parlent à des gens de toutes générations, à travers les siècles. Qu’est-ce qui fait que, pour moi, une oeuvre peut traverser le temps et parler à toute personne? Une oeuvre revisitée Dans cette vidéo, le pianiste Joachim Hoarsley revisite le 2ème Mouvement de la Symphonie n°7 de Beethoven ; il met en exergue le rythme de l’oeuvre en l’associant à des rythmes de musique cubaine. Comment est-ce que je considère cette reprise ? Est-ce pour moi de l’ordre du génie ou de la trahison ? Ce pianiste, en outre, n’utilise pas que les touches de son piano, mais aussi le bois, les cordes… tout ce qui constitue l’instrument quel effet cela me fait-il ? Enfin, si maintenant je cesse de comparer l’oeuvre de Beethoven et cette reprise et si j’écoute et regarde sans jugement la manière dont le pianiste utilise tout son instrument, qu’est-ce que cela provoque en moi ? De tout ce qui m’habite à la fin de ce temps de prière, je parle au Seigneur… A la fin de ce temps de prière, je note une ou deux choses qui me sont venues. Je peux les partager sur l’espace de la prière continue.
le discours d un roi musique beethoven